La paracha de Ki Tétsé parle du cas où un homme s'est marié avec une femme, a vécu avec elle, et s'est mis à la haïr au point de lui faire une mauvaise (et fausse) réputation. Elle nous dit qu'il reçoit trois punitions,parmi lesquelles le fait de ne jamais avoir le droit de la divorcer. Sachant que, dans la Torah, les punitions ne sont pas seulement dissuasives mais aussi éducatives, en quoi la sanction de ne pas pouvoir divorcer cette femme est-elle une réparation du mal que l'homme a fait ? D'où provient la haine, le racisme et la xénophobie? En quoi la proximité engendre-t-elle l'amour ?
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