« J’ai grandi dans une famille religieuse où le respect du Chabbath et de la Cacheroute sont essentiels.
Pour autant, à l’adolescence, j’ai voulu faire comme la plupart des filles de ma classe, ce qui m’a progressivement fait dévier du droit chemin... Il faut dire qu’au collège, les filles parlaient beaucoup de garçons... Certaines en fréquentaient...
On a beau se dire qu’on est forte et que ça ne nous arrivera pas, au bout d’un moment, on subit l’influence et on tombe. Surtout qu’à force de regarder des films, on a envie de reproduire ce qu’on voit et de vivre une grande histoire d’amour.
Mais heureusement, à mon entrée au lycée, certaines mauvaises fréquentations sont sorties de ma vie et j’ai commencé à me retrouver avec moi-même, une Bat Israël...
Au début, j’essayais juste de faire un peu mieux la ‘Amida que lorsque je la faisais à l’école.
Ces paroles de la ‘Amida résonnaient en moi : "Hachivénou Avinou Létoratékha Vékarevénou Malkénou La’avodatékha Véha’hazirénou Bitéchouva Chéléma Léfanékha" "Ramène-nous notre Père à Ta loi et rapproche-nous notre Roi à Ton service et fais-nous retourner d'une pénitence sincère devant Toi".
Puis, j’ai découvert Torah-Box et j’ai commencé à comprendre grâce aux réponses du service "Question au Rav" que j’avais fait de terrible ‘Avérot qui m’avaient écartée du droit chemin.
Petit à petit, je me suis dit que j'allais juste faire l’effort de mettre une jupe le Chabbath, puis, quelques mois après, une jupe une fois par semaine en plus du Chabbath, et ainsi de suite jusqu’à ce que, Baroukh Hachem, aujourd’hui, je sois complètement Tsnanou'a.
Je n’aurais jamais pensé réussir à changer mon style vestimentaire, car, pour moi qui étais un peu "garçon manqué" et qui m’habillais toujours en pantalon, c’était impensable de mettre des jupes et des collants… Mais finalement, en y allant petit à petit, avec l’aide d’Hachem, on peut y arriver. Finalement, j’ai découvert que la Tsni’out, c’est quelque chose de magnifique et que ça change la personne (du bon côté)...
Bien que ce fut extrêmement dur, j’ai réussi grâce à Hachem.
Ensuite, grâce aux articles et à l’application Torah-Box, j’ai eu envie de continuer à avancer et d’arrêter de regarder des séries, des films… Encore une fois, je me suis demandé comment MOI, une jeune fille qui passait la moitié de son temps à regarder des films et séries, je pouvais arrêter. Puis, j’y suis allée petit à petit, en essayant de me mettre une limite de temps sur Netflix, de ne pas regarder de films pendant un jour... Et, grâce à D.ieu, aujourd’hui, je n’en regarde plus. J’ai compris que, finalement, c’était une perte de temps et que ça ne faisait que polluer ma Néchama (âme). C’était très compliqué, mais, encore une fois, Hachem m’a aidée. Hachem aide tout celui qui fait un pas vers Lui.
J’ai rencontré également le problème des musiques, car j’ai appris grâce à Torah-Box qu’il ne fallait pas écouter des musiques non-Cachères, des musiques Goy, d’amour...
Cette fois encore, j’y suis allée petit à petit, j’ai commencé à arrêter d’écouter du rap, des musiques françaises, et à remplacer par des musiques anglaises, dont je ne comprenais pas vraiment le sens. Puis, j’ai commencé à supprimer petit à petit et j’ai commencé à écouter des musiques Cachères. Pendant un long moment, j’ai écouté les musiques avec la traduction que Torah-Box publiait le vendredi.
À l’heure actuelle, j’écoute sur l’application Torah-Box Music. ‘Hazak, c’est vraiment magnifique d’avoir une application avec uniquement des musiques Cachères.
J’ai compris, grâce à Hachem, que ce n’était pas bien d’avoir les réseaux sociaux, donc j’y suis encore allée petit à petit. Tout d’abord, j’ai commencé par supprimer les gens qui me suivaient mais que je ne connaissais pas. Puis, quelque temps plus tard, j’ai supprimé les garçons qui me suivaient, même ceux avec qui j’étais amie. Ensuite, je me suis mise en compte privé et j’ai essayé d’enlever quelques photos de mon compte... J’ai commencé à ne m’abonner qu’à des cours de Torah, et ainsi de suite, jusqu’à ce que, Baroukh Hachem, j’aie totalement supprimé.
Au début, j’avais une sensation de manque, mais quelque temps après, je me suis sentie tellement heureuse, c’était magnifique de ne plus avoir ces choses sur mon téléphone.
J’ai gardé WhatsApp et, Baroukh Hachem, je m’en sers pour recevoir des cours de Torah et pour transmettre à des filles des lois de Mouktsé et de Yi’houd.
Un conseil : supprimez réellement tous les réseaux sociaux... c’est une perte de temps et, finalement, on est mieux sans.
Avant, j’étais souvent triste, puis j’ai pratiqué la pensée positive dans l’esprit du judaïsme grâce aux cours qui se trouvent sur Torah-Box entre femmes. Ça m’a sauvée, c’est magnifique d’être joyeuse...
Vous l’avez compris, grâce à Torah-Box, je continue à avancer de jour en jour, et je vous suis infiniment reconnaissante pour ça.
Continuez vos actions, vous n’imaginez pas à quel point ça nous apporte à chacun.
Je souhaite sincèrement remercier Torah-Box...
Chère Bat Israël, si tu lis mon témoignage, sache que, toi aussi, tu as la possibilité de faire Téchouva, de vivre une vie incroyable... Hachem t’attend. Tu en es capable, ne perds jamais espoir. Même si c’est dur, n’oublie pas pourquoi tu le fais, n’oublie pas qu’Hachem attend que tu reviennes vers Lui.
Aie confiance en toi, aie confiance en Hachem. Tu en es capable, ne te sous-estime pas. »
Léa Nabet d'après un témoignage reçu
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