" Le respect du Chabbath Kodech "
La fille du Rav Yaakov Hermann était tombée malade et avait été hospitalisée dans un état grave. Toute la semaine, ses parents étaient restés à son chevet mais le vendredi, ils retournèrent chez eux afin de se préparer dûment au Chabbath. « Je suis certain que par le mérite du Chabbath, elle va guérir », clama le Rav.
Le Chabbath matin arriva à la maison un télégramme annonçant le décès de la fille. Une de ses sœurs, qui réceptionna le message, décida de ne pas le remettre à ses parents jusqu’à la sortie du Chabbath, après la Havdala.
A ce moment, elle se dirigea vers son père pour lui communiquer la triste nouvelle. Avant même qu’elle ait eu le temps de parler, un nouveau télégramme arriva, d’après lequel la malade était à présent hors de danger. Le message précédent, apprirent-ils, était dû à un quiproquo. « Vous voyez, conclut le Rav Hermann, c’est par le mérite du Chabbath ! »