" La force puisée dans un Siddour "
Une rescapée de la Shoah a raconté : « Nous avions un trésor dans le camp : un petit Siddour qu’une Juive hongroise avait emporté avec elle. On l’avait caché dans une miche de pain, et dans ce Siddour qui transita de camp en camp, nous puisions espoir et consolation. C’est dans cette petite relique que nous lisions le Kaddich et le Viddouï, lorsque nous sentions la mort approcher. »
« Quand les souffrances s’amplifiaient et que la détresse nous submergeait, nous y lisions des chapitres des Téhilim avec David Hamélekh. Nos ennemis finirent par deviner l’existence de ce livre et nous le confisquèrent. »