J’ai reçu cette parabole très touchante et j’espère qu’elle vous aidera également et vous donnera un peu de réconfort…
Un jeune enfant renversa sur lui un grand récipient d’eau bouillante et tout son corps en fut grièvement brûlé. Le père de l’enfant, paniqué, appela une ambulance de toute urgence. Les secouristes se rendirent bien vite compte qu’il s’agissait d’une brûlure très profonde sur tout le corps de l’enfant.
Durant tout le trajet jusqu’à l’hôpital, l’enfant hurlait de douleur et le père avait du mal à voir son pauvre fils dans cet état. Il supplia les secouristes de bien vouloir apaiser les souffrances de son cher enfant, de lui injecter un calmant, une anesthésie, jusqu’à ce qu’ils arrivent à l’hôpital…
Mais rien n’y fit. Les secouristes refusèrent catégoriquement de soulager les douleurs, arguant qu’ils étaient obligés d’arriver d’abord à l’hôpital et d’attendre les examens pour que le patient puisse recevoir le traitement approprié.
Bien évidemment, le père se fâcha, ne comprenant pas l’indifférence des secouristes et promettant de porter plainte contre ces derniers – le fait qu’ils aient refusé de s’occuper correctement de son fils ne passerait pas sous silence…
Ils arrivèrent tant bien que mal à l’hôpital et après les examens effectués, il s’avéra que le système respiratoire de l’enfant avait été touché et gravement affecté. L’enfant fut maintenu en vie, parce qu’il avait été obligé de respirer. Et pourquoi était-il obligé de respirer ? Parce qu’il hurlait, il pleurait et cela forçait son appareil respiratoire à travailler…
C’est exactement ce que nous voyons en ces jours douloureux…
Notre peuple, qui souffrait déjà avant le début de la guerre, vient de recevoir un grand coup, une grave blessure, qui aurait pu, ’Hass Véchalom, affecter et détruire notre « système respiratoire ». Nous demandons, supplions, implorons, désirons une « anesthésie », un calmant – une vie plus sereine, plus calme, plus joyeuse.
Mais Hachem veut que nous ayons la vie sauve. Par quel mérite ? Comment pouvons-nous nous en sortir ? Il faut que nous hurlions, que nous nous renforcions, que nous fassions travailler notre « système respiratoire », que nous allumions l’étincelle juive qui brûle en chacun de nous, que nous continuions à nous unir, à améliorer notre comportement en faveur du peuple juif, à crier et à implorer de toutes nos forces. Par ce biais, nous connaîtrons la délivrance, avec l’aide de D.ieu !
Bonne chance à tous, et puissions-nous tous entendre et annoncer uniquement de bonnes nouvelles !!