Comment apprend-on du Rav Moché Feinstein que l'on doive s'empresser d'accomplir une autre Mitsva sans attendre après la première, et ainsi de suite ? Que peut-on en déduire au niveau de la spiritualité ? Que répond le Ben Ich 'Haï aux Juifs qui disent qu'on peut se contenter d'être juif dans son cœur, sans rien appliquer de la religion ? Les bonnes intentions qui sont bien sûr nécessaires, s'avèrent-elles suffisantes ? Quant aux Mitsvot accomplies sans aucune Kavana, ont-elles une valeur ? Réponse avec un Machal. Enfin, lorsqu'un grand homme fait de bonnes actions et se comporte comme il faut, cela va-t-il de soi et est-ce donc inutile de louer sa conduite ? Réponse avec Rav Yékhezkel Levenstein et Rav Israël Salanter.

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