Donner la Tsédaka annule aussi les mauvais décrets. Outre les dons d'argent, donner de son temps et de son écoute à quelqu'un qui en a besoin est aussi une forme de Tsédaka. En quoi le fait de donner (le Ma'asser) permet paradoxalement de s'enrichir ? La Tsédaka sauve-t-elle des souffrances et insuffle-t-elle des forces de vie ? Pourquoi celui qui est dans le besoin confère un mérite (Zekhout) à celui qui donne ? Que signifie littéralement le mot "Tsédaka" ? En quoi le mot "charité" est-il une très mauvaise traduction et ne reflète en rien cette dynamique vitale de "Donner-Recevoir" ? Pourquoi dit-on que le monde tient grâce à la Tsédaka ?
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