Logo Torah-Box
Cliquez-ici !
Cliquez-ici !
Femmes

L'homosexualité féminine

Mis en ligne le Jeudi 28 Mars 2024
Comment réagir en tant que parent vis-à-vis de son enfant, face à un choix de vie qu'il a fait et qu'on désapprouve absolument ? Comment préserver la relation d'amour parent-enfant dans de telles situations ?
Rav Yaakov SITRUK
Voyons plus clair

Voyons plus clair

Une mise en perspective des grandes thématiques de l'actualité à la lueur de l'érudition juive véritable. 

acheter ce livre

Avez-vous aimé ?

26 commentaires

Helyo D.
28/02/2023 - 19h46
Pourquoi hashem à t il besoin d'échanger les nechamotes comme Isaac yossef et david
Helyo D.
28/02/2023 - 19h38
Bonjour je suis juifs ayant des tendances homosexuels je me demandais pourquoi dieu échange les âmes feminines et masculines quel est l'intérêt de faire ca
Mordékhaï B.
20/07/2021 - 14h05
Chalom,
"D'autres directions".
Cela concerne essentiellement les thérapeutes.
D'une manière générale, les patients se tournent vers le thérapeute avec une plainte, une souffrance, une demande.
La tendance est de chercher des solutions. [...] lire la suite du commentaire
Chalom,
"D'autres directions".
Cela concerne essentiellement les thérapeutes.
D'une manière générale, les patients se tournent vers le thérapeute avec une plainte, une souffrance, une demande.
La tendance est de chercher des solutions. Or dans le cas que vous décrivez (et pas seulement d'ailleurs), c'est précisément la dernière chose à faire.
On doit consacrer du temps, beaucoup de temps et beaucoup d'énergie à comprendre, pour chaque patient, l'origine de ses tendances.
C'est au travers de cette exploration, qu'on découvrira les codes bloquants du patient ainsi que ses conditionnements, et qu'on pourra lui donner les moyens de comprendre qui il est et de quoi est fait son psychisme.
La suite, c'est à dire le mariage d'un homme ayant eut dans le passé des tendances homosexuelles et qui veut convoler en justes noces, OU la gestion d'un couple où il s'avère que le mari a été homosexuel, nécessite d'autres phases de thérapie.
Ce n'est pas le lieu de les évoquer.
A nouveau en direction des parents qui nous suivent:
Le monde dans lequel nous vivons est en plein bouleversement. Sachez que VOS choix de comportement, la manière dont vous vous comportez entre vous, les fréquentations de vos enfants, les écoles dans lesquelles vous les inscrivez, les groupes que vous les laisssez fréquenter, ont une empreinte indélébile sur leurs relations sociales, et plus si affinités.....
A nouveau; Hamévine yavine.
Maxime M.
20/07/2021 - 12h26
Chalom Rav Bitton
Non ce ne sont pas des tipoulé hamara que j ' ai faits . C est entre autres un psychologue francophone de Jerusalem que j ai consulté ( je ne le nommerai pas ici ) . mais en plusieurs années cela n a rien donné . Vous savez , dans la [...] lire la suite du commentaire
Chalom Rav Bitton
Non ce ne sont pas des tipoulé hamara que j ' ai faits . C est entre autres un psychologue francophone de Jerusalem que j ai consulté ( je ne le nommerai pas ici ) . mais en plusieurs années cela n a rien donné . Vous savez , dans la vie , on investit son énergie dans les choses qu on POURRAIT faire , dans les choses qui nous parlent , qui nous motivent . Je ne suis pas sûr que vous accepteriez de donner votre fille en mariage à un homme qui n a jamais été attiré par des femmes , quand bien même il prétend avoir changé . Quand on chasse le naturel il revient au galop . Pourquoi voulez-vous qu une femme prenne le risque de se marier avec un homme homosexuel dans son passé [ et dont l attirance pour sa femme n est pas certaine de durer dans le temps ] alors que la majorité des hommes n ont pas ce probleme . Ce n est pas comme un homme anciennement alcoolique car sa dépendance à l alcool ne remet pas en cause la légitimité du mariage . par contre un homme qui n a jamais eu dans son passé une attirance pour les femmes mais pour les hommes , meme s il pense avoir changé , le mariage reposerait sur une base assez branlante car rien ne prouve que son changement perdurera dans le temps . Une femme qui est privée de sa Ona [ rapports sexuels ] est en droit de demander le divorce . Moi en ce qui me concerne je ne connais aucune femme qui prendrait ce risque là car cela serait carrement irresponsable . Qu entendez vous par '' doivent réfléchir dans une autre direction.'' ??
Mordékhaï B.
20/07/2021 - 11h22
Chalom Maxime,
C'est intéressant ce que vous écrivez.
Vous avez donc tenté de faire des thérapies pour "créer un yetser hadach" qui vous aurait donc permis de désirer vous marier avec une femme.
Est-ce que l'on aurait tenté de vous faire une [...] lire la suite du commentaire
Chalom Maxime,
C'est intéressant ce que vous écrivez.
Vous avez donc tenté de faire des thérapies pour "créer un yetser hadach" qui vous aurait donc permis de désirer vous marier avec une femme.
Est-ce que l'on aurait tenté de vous faire une thérapie de conversion?
Si c'est le cas, vous avez raison, ça ne fontionne pas.
Ceux qui ne peuvent pas envisager de se marier avec une femme parce qu'ils n'en ont pas le désir doivent réfléchir dans une autre direction.
Par ailleurs et concernant les sompétences requises pour ce sujet:
Il y a un point sur lequel tout le monde est d'accord.
Le caractère "massif" , littéralement "sociétal" de l'homosexualité est un fait nouveau.
Trop nouveau pour que l'on ait déjà dégagé des outils de réflexion pour y faire face.
On gagnera certainement à se focaliser, dans les thérapies sur le pourquoi de cette tendance, sur ses origines, sur les modalités de son apparition, plutôt que sur des solutions immédiates.
Cela dit, et sans rapport avec votre intervention, et à l'adresse de celles et ceux qui suivent ces échanges, ce caractère massif doit faire réfléchir les parents sur l'environnement dans lequel ils font évoluer leurs enfants et sur la qualité de leur entente conjugale.
Véhamévin yavine.
Bon courage à nous tous.
Maxime M.
20/07/2021 - 10h42
Cher Rav Bitton , on ne peut pas se marier avec une femme si on n'est pas attiré par le genre féminin . Vous allez me dire '' il y a des thérapies '' . Le probleme c est que les rabbins n ont pas pris la peine de voir en quoi consistent ces therapies ... Moi [...] lire la suite du commentaireCher Rav Bitton , on ne peut pas se marier avec une femme si on n'est pas attiré par le genre féminin . Vous allez me dire '' il y a des thérapies '' . Le probleme c est que les rabbins n ont pas pris la peine de voir en quoi consistent ces therapies ... Moi je les ai faites ces therapies et je peux dire clairement aujourd hui qu elles laissent grandement à désirer . Aucun psychologue n est formé à ce jour pour réaliser de telles métamorphoses ! Ce n est pas parce qu ils ont étudié 4 ou 5 ans à l université que cela leur donne le pouvoir de créer un yétser hadach !! faut arreter le délire !! donc ne parlez pas de mariage puisque dans notre cas ce n est pas possible !!
Yehouda D.
16/07/2021 - 21h39
A aucun moment je n'ai été insultant, déplacé, agressif, arrogant ou irrespectueux. J'ai pris le temps et la peine d'expliquer mon point de vue, de l'éclairer, de citer des sources, de m'exprimer clairement et correctement. A aucun moment je n'ai été de [...] lire la suite du commentaireA aucun moment je n'ai été insultant, déplacé, agressif, arrogant ou irrespectueux. J'ai pris le temps et la peine d'expliquer mon point de vue, de l'éclairer, de citer des sources, de m'exprimer clairement et correctement. A aucun moment je n'ai été de mauvaise foi, je n'ai pas pris de raccourci intellectuel. Et je respecte notre Torah en l'honorant, en l'étudiant, en la méditant. Et surtout je l'applique.
Et surtout, je respecte la parole de l'Autre, même si nous ne sommes pas du même avis. Je me garderai bien d'avoir des propos dénigrants et dégradant à l'égard de quiconque, car si certaines de mes interprétations sont à 180 degrés de certains Rabbanim, le Lachon Har'a est, quant à lui, définitivement à 180 degrés de la Torah.
Shalom ouvera'ha!
Mordékhaï B.
16/07/2021 - 12h37
Chalom, Yehouda , je vois que vous persistez dans la mauvaise foi.
Vous ajoutez quelques phrases sur les thérapies de conversion qui ne plus pratiquées, du moins dans le milieu des thérapeutes/thorapeutes depuis plusieurs années lumières.
Les gens [...] lire la suite du commentaire
Chalom, Yehouda , je vois que vous persistez dans la mauvaise foi.
Vous ajoutez quelques phrases sur les thérapies de conversion qui ne plus pratiquées, du moins dans le milieu des thérapeutes/thorapeutes depuis plusieurs années lumières.
Les gens qui viennent nous voir sont en douffrance et auraient préféréne jamais avoir ces pulsions (exprimant effectivement une tendance de l'âme, concept que vous peinez visiblement à comprendre). Ils sont reçus et acceptés avec leur histoire, leur personnalité. Je ne vois donc pas ce que cela vient faire dans notre discussion, d'autant plus que je n'ai pas du tout abordé cette question.
De plus, vous confondez identité sexuelle et tendance sexuelle. Homme/femme c'est une identité sexuelle; hétérosexuel ou homosexuel, c'est une tendance, PAS UNE IDENTITE!
Effectivement, je cesse ici notre discussion.
Bonne santé mentale, psychoque et spirituelle à nous tous.
Aurore B.
15/07/2021 - 22h17
Cher Rav Bitton

Avec tout mon respect, je crains fort que vous perdez votre temps avec ce triste sire misogyne. Il ne connait rien à la Torah, n'a même pas un dixième de vos connaissances et ne prend même pas la peine de respecter le Gadol Hador [...] lire la suite du commentaire
Cher Rav Bitton

Avec tout mon respect, je crains fort que vous perdez votre temps avec ce triste sire misogyne. Il ne connait rien à la Torah, n'a même pas un dixième de vos connaissances et ne prend même pas la peine de respecter le Gadol Hador que fut le Rav Ovadia Yossef en méprisant ses propos.

Son but n'est pas de correspondre avec la Torah Hakedocha, puisqu'il passe son temps à la dénigrer, tout en faisant semblant de la connaitre. Il ne fait qu'étayer ses propres convictions personnelles.... Il parle d'une génération qui a été détruite dans le désert à cause du veau d'or mais oublie sournoisement de mentionner que TOUTE la population de Sodome a été détruite y compris les enfants et les bébés à cause de leurs mœurs dépravées. C'est dire combien il maitrise le sujet. Son interprétation de la Torah est à 180 degrés de celle des Rabanim !

A partir de là, vous en conviendrez que tout échange avec cet individu est complètement stérile !

Chabat Chalom Rav et au plaisir de vous lire.
Yehouda D.
15/07/2021 - 20h55
Je n'ai pas posé de questions concernant la "réorientation" supposée des pulsions sexuelles.
C'est vous-même qui avait choisi l'exemple de la pulsion meurtrière pour illustrer votre propos sur les pulsions sexuelles. C'est donc que vous mettez d'emblée [...] lire la suite du commentaire
Je n'ai pas posé de questions concernant la "réorientation" supposée des pulsions sexuelles.
C'est vous-même qui avait choisi l'exemple de la pulsion meurtrière pour illustrer votre propos sur les pulsions sexuelles. C'est donc que vous mettez d'emblée ces 2 domaines sur un pied d'égalité. Ce n'est pas un sophisme de le dire, puisque c'est vous qui l'affirmez.
L'homosexualité n'est pas une pulsion sexuelle. C'est une identité sexuelle. C'est tout à fait différent.
Ce que sous-entend votre raisonnement en disant que tout peut-être travaillé et amélioré, c'est que l'homosexualité est quelque chose de dégradant qui mérite d'être changé chez la personne. On connait ceci avec les "thérapies" de conversion. Ces pratiques graves détruisent beaucoup de personnes, laissent des séquelles psychologiques indélébiles et même parfois des marques physiques dues aux châtiments corporels. Elles mènent aussi au suicide de certains participants. Elles sont interdites dans certains pays, heureusement.

Lorsque le Rav Ovadiah Yossef déclare que les homosexuels sont "le mal absolu" et interdit de les fréquenter dans et en dehors de la communauté, il s'agit bien d'une condamnation morale. Et le fait de rejeter les personnes qui vivent cette réalité crée plus de mal que de bien.
En ce qui concerne l'origine de la Torah, ce n'est ici qu'une question de croyance. Ce que nous croyons n'est pas LA vérité, mais NOTRE vérité. Nos croyances ne devraient pas mettre des barrières entre les humains, mais les rapprocher. C'est là l'essence du projet messianique de la Torah.
Mordékhaï B.
15/07/2021 - 17h36
A Yehouda,
de Mordekhaï Bitton
Faites-moi l'honneur de conserver à notre échange un niveau de bonne foi et de précision de haut niveau.
Vous m'avez posé une question sur la possibilité de réorienter des pulsions sexuelles et je vous ai [...] lire la suite du commentaire
A Yehouda,
de Mordekhaï Bitton
Faites-moi l'honneur de conserver à notre échange un niveau de bonne foi et de précision de haut niveau.
Vous m'avez posé une question sur la possibilité de réorienter des pulsions sexuelles et je vous ai répondu en vous donnant l'exemple du Mazal et en vous montrant que pour le Judaïsme, tout, et j'insiste bien, TOUT, peut faire l'objet d'un travail et d'un changement.
Je n'ai aucunement comparé les pulsions sexuelles et meurtrières. Soyez correct et précis, s'il vous plaît.
Par ailleurs, les homosexuels et les lesbiennes sont écoutés et entendus. Ils ont des interlocuteurs/trices et bénéficient de toutes les possibilités de dialogue, comme le montre notre échange sur ce sujet, dans ce cadre.
Je suis thérapeute et je traite souvent ces questions. je me sens donc qualifié pour en parler.
La Torah est intemporelle. elle n'est pas un texte culturel soumis aux alésa des modes et des lois séculières. Elle a été écrite avant la création du monde selon le Zohar (Terouma 124). Elle n'est pas qu'un livre de lois. Elle est le reflet de la pensée divine qui a structuré la création. Partant, les interdits et les obligations de la Torah participent à une réalité qui nous "tient" et nous structure.
Votre proposition de réforme, du fait des aléas du temps, est donc plutôt inopérante.
Yehouda D.
15/07/2021 - 16h05
Je comprends mieux la nuance.
Mais, pour reprendre votre exemple, une personne qui a des pulsions transgressives meurtrières ou sanguinaire, et qui choisirait d'être chirurgien ou mohel, je suis loin d'être sûr que ses pulsions seraient apaisées par son [...] lire la suite du commentaire
Je comprends mieux la nuance.
Mais, pour reprendre votre exemple, une personne qui a des pulsions transgressives meurtrières ou sanguinaire, et qui choisirait d'être chirurgien ou mohel, je suis loin d'être sûr que ses pulsions seraient apaisées par son activité. Cela revient à dire que puisque la personne est chirurgien ou cho'het, par exemple, elle ne peut pas être un meurtrier, ce qui est évidement illogique et faux.
La deuxième chose qui est dérangeante dans ce raisonnement, c'est de mettre sur le même pied d'égalité un meurtrier et une personne homosexuelle. Il y a une pulsion transgressive très grave dans le meurtre que l'on ne retrouve pas du tout avec l'homosexualité. Les pulsions meurtrières sont dangereuses pour la sécurité de la société, alors que l'homosexualité ne l'est pas. D'ailleurs, ce sont les personnes homosexuelles qui sont le plus souvent agressées, et même dans certains pays tuées.
Ensuite, l'emploi du mot "thérapie" est discutable, notamment parce qu'il sous-entend que l'on peut guérir de son identité sexuelle, ou de son orientation sexuelle. Or, l'identité sexuelle (ou orientation sexuelle) n'est pas un caractère que l'on choisit. Pas plus que l'on ne peut décider du jour au lendemain de devenir homosexuel, on ne peut pas décider de ne plus l'être. Et on ne souffre pas d'être homosexuel, on souffre du rejet.
Ce que les nombreuses études nous apprennent, c'est que dans les sociétés civiles qui se montrent les plus tolérantes à l'égard des questions de genre, de race et d'orientation sexuelle, les personnes qui vivent ces différences sont plus en sécurité, sont moins sujettes aux troubles de santé mentale, et à la dépression et au suicide, notamment.
Alors, lorsque cet interdit coute plus de vie qu'il n'en sauve, n'y a-t-il pas lieu de réviser ses positions halakhiques (comme l'on fait de tout temps les poskim sur differents sujets)?
Nos sœurs et frères juifs et non juifs qui sont confrontés à cette réalité méritent de notre part de l'écoute, du respect, de la compréhension, de la tolérance, de la reconnaissance et de l'amour.
Et surtout ce que je trouve étrange dans tout cela, c'est que ce soit des hommes qui ne sont pas confrontés à cette réalité, qui ne la vivent pas et n'ont donc pas d'expériences concrètes dans ces questions, qui émettent des avis et des décisions sur ce sujet.
Mordékhaï B.
15/07/2021 - 13h59
Chalom,
C'est Mordekhaï Bitton qui écrit
Dans le verset que je cite (Vayikra 18,3), il est également dit que l'on doit s'abstenir d'imiter les agissements des nations du monde. Donc, effectivement, et de manière tout à fait essentielle, ces [...] lire la suite du commentaire
Chalom,
C'est Mordekhaï Bitton qui écrit
Dans le verset que je cite (Vayikra 18,3), il est également dit que l'on doit s'abstenir d'imiter les agissements des nations du monde. Donc, effectivement, et de manière tout à fait essentielle, ces interdits visent à marquer les différences de conception fondamentale sur la sexualité notamment.
Par ailleurs, le mot Toéva est expliqué par Rachi comme "Hachem enlève sa providence" de celui ou celle qui se livre à ces actes qualifiés de Toéva.
Ce qui signifie que lorsqu'un indicidu se laisse aller "à la nature de son caractère", sans même tenter de relever le défi, il est livré aux lois de sa propre nature.
En outre, toutes les tendances de l'âme et su psychisme relèvent d'une progammation connue sou le nom de Mazal.
Or le Mazal peut être orienté. Par exemple, une perconne qui naît avec un mazal sanguinaire, peut choisir d'être Mohel, Chohet, Chirurgien ou....meurtrier (Chabbat 156a). Cette personne ne pourra pas s'excuser "d'avoir tué" au nom de son mazal. Il lui était précisément demandé de l'orienter.
Comment fait-pn en ce qui concerne toutes les tendances sexuelles?
réponse: Thérapie, Torahpie et étud ede la Torah.
Bon courage à nous tous.
Yehouda D.
14/07/2021 - 21h50
Shalom Rav! L'homosexualité, qu'elle soit féminine ou masculine, n'est pas un choix. C'est une orientation sexuelle. Elle n'est pas choisie par la personne, comme d'autres caractéristiques physiques et psychiques. On ne peut pas "guérir" ou changer ces [...] lire la suite du commentaireShalom Rav! L'homosexualité, qu'elle soit féminine ou masculine, n'est pas un choix. C'est une orientation sexuelle. Elle n'est pas choisie par la personne, comme d'autres caractéristiques physiques et psychiques. On ne peut pas "guérir" ou changer ces caractéristiques, pour la simple raison que l'on n'en souffre pas.
Les personnes homosexuelles souffrent du mépris, du rejet, du jugement, de la violence, mais pas de leur identité sexuelle. C'est très important de comprendre ça pour avoir une vision éclairé.
Dans les pesoukim qui évoque l'homosexualité, on parle de "to'evah", qui est traduit par "abomination". Or, dans le reste de la Torah, pour parler d'abomination, l'auteur utilise le mot "Sheqetz" (dans les lois concernant la casherout) ou "Pigoul" (dans les lois concernant les sacrifices).
Si on observe attentivement les autres endroits du TaNaKh où l'auteur utilise le mot to'evah, (une quinzaine d'occurrences), on remarque que "to'evah" est utilisé dans un contexte bien précis: on parle d'une pratique qui appartient à une autre culture.
Par exemple, dans Shemot 8:26, Paroh donne la permission à Moche Rabbenou d'offrir des sacrifices en Égypte. Moche refuse en disant que les Béné Israel sacrifiraient alors "l'abomination (to'evah) des égyptiens". Il parle ici des vaches et des moutons qui étaient considérés comme sacrés par les égyptiens, mais consommés par les Béné Israel.
Un autre exemple dans Melakhim 1 14:24, où la prostitution sacrée est qualifié de "to'evah" puisque pratiqué par d'autres cultures mais réprouvé par les enfants d'Israel.
Ou encore les sacrifices humains au Molekh, dans Yrmeyah 32:35, qui sont qualifiés de "to'evah".
Les tribus Canaanites utilisaient les actes homosexuels dans des rites païens.
Dans ce contexte, on peut en déduire que l'interdiction de l'homosexualité intervient non pas par question morale, mais bien pour se distinguer des païens.

Newsletter Torah-Box

Pour recevoir chaque semaine les nouveaux cours et articles, inscrivez-vous dès maintenant :

Pessah
Réjouissez le coeur des pauvres
avec un colis de nourriture pour Pessa'h 
Soit 35.36 € après réduction d'impôts*

2 Avril 2025 - 4 Nissan 5785

  • 06:20 Mise des Téfilines
  • 07:14 Lever du soleil
  • 13:36 Heure de milieu du jour
  • 19:58 Coucher du soleil
  • 20:37 Tombée de la nuit

Chabbath Vayikra
Vendredi 4 Avril 2025

Entrée à 19:42
Sortie à 20:43


Changer de ville

Contactez-nous sur WhatsApp