Comment comprendre les propos de Rabbi Yossef et ceux d’Abbayé concernant le miracle dont a bénéficié l’homme qui devait nourrir son bébé et qui ne pouvait pas payer une nourrice pour l’allaiter ? Sommes-nous, de nos jours, capables de vivre au niveau du miracle ? Pourquoi ? Quelles sont les deux sortes d’émouna ? En quoi les Tables de la Loi sont-elles le symbole de ces deux niveaux ? Qu’est-ce que le miracle ? Le judaïsme privilégie-t-il l’aspect spectaculaire du ness (miracle) ou le message dont il est porteur ? Quel point commun y a-t-il entre le premier et le dernier miracle historique et collectif dont a bénéficié le peuple juif ?
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