Un Juif confronté à des difficultés financières, ou tout simplement désireux de mieux gâter sa famille ou s'épanouir dans son métier, pourrait parfois être tenté de renoncer à certains principes de la Torah pour y arriver. En quoi n'est-ce pas souhaitable (même s'il ne transgresse pas d'interdits clairs et évidents pour tout juif religieux) ? Comment allier bonheur personnel et fidélité absolue à la Torah ?
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