Lire les Panneaux de Cacheroute pendant la Chemita !

Mis en ligne le Vendredi 22 Octobre 2021

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Toutes les clés pour décrypter un panneau de Cacheroute pendant la Chémita :

Yévoul Nokhri
Yévoul Chichit
Matsa’ Ménoutak
Otsar Beth Din
Yévoul ’Houl
Héter Mékhira

Ces notions n'auront plus de secrets pour vous !

Dan COHEN

Cette vidéo fait partie de la série La Chémita dans tous ses états :
cliquez-ici pour découvrir la série complète

La Chemita : Mitsva en Or

Tout savoir sur la Chemita" (année sabbatique) qui se renouvelle tous les 7 ans : l'arrêt des travaux agricoles, la sainteté des fruits, l'annulation des dettes, la vente des terres,...

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17 commentaires

Dan C.

24/10/2021 - 14h50

A Mickael O.
Rav Dayan a répondu à vos questions.
Je reviens néanmoins sur un point que vous évoquez : « Dans ce cas, quelqu'un qui ne prend pas Ether Mekhira mais Otzar Beit Din (partant du principe que chaque parcelle d'Erets Israel appartient de [...] lire la suite du commentaire

Dan C.

24/10/2021 - 14h50

A Loic H,
Bonjour,
Il est évident qu’il est préférable, en Israël d’acheter des fruits sous surveillance rabbinique, afin d’être sûr que les fruits ne sont pas interdits à la consommation parce qu’il s’agit des fruits des 3 premières années depuis [...] lire la suite du commentaire

Dan C.

24/10/2021 - 14h49

A Batsheva B.
Bonjour,
Vous faites une bonne remarque. Volontairement, nous n’avons pas souhaité dans cette vidéo de vulgarisation parler de l’opinion du Mabit, appuyée par le ‘Hazon Ish selon laquelle les fruits provenant d’une récolte non juive [...] lire la suite du commentaireA Batsheva B.
Bonjour,
Vous faites une bonne remarque. Volontairement, nous n’avons pas souhaité dans cette vidéo de vulgarisation parler de l’opinion du Mabit, appuyée par le ‘Hazon Ish selon laquelle les fruits provenant d’une récolte non juive ont malgré tout une Kédoucha de la septième année, pour les raisons suivantes :
1. Aujourd’hui cette opinion ne fait autorité que pour une minorité de juifs, et je dirais même une minorité d’Ashkénazes.
2. Le public qui suit cette opinion fréquente peu internet, et de surcroit ce public est bien encadré par des Rabbanim qui lui indique la manière de se comporter vis-à-vis des fruits issus du Yévoul Nokhri.
3. Contrairement à ce que laisse suggérer votre question, la différence de traitement des fruits Yévoul Nokhri ne dépend pas d’une simple délimitation géographique. Il est vrai qu’on dit généralement que les Ashkénazes de Bné Brak suivent l’opinion du ‘Hazon Ish sur ce point, et que les Ashkénazes de Jérusalem ne la suivent pas. Mais c’est évidemment plus compliqué que ça. En fait le seul moyen de savoir si on suit cet usage ou non, c’est d’avoir un maître qui nous indique quoi faire.
4. Parler de cette opinion aurait pu induire dans la tête de certaines personnes qu’il serait préférable de se montrer strict et de considérer que les fruits issus du Yévoul Nokhri ont une Kédoucha. Or c’est loin d’être évident, car selon certains Rabbanim se conduire avec des fruits non Kadoch comme s’ils étaient Kadoch serait une cause d’excommunication. (Chout Maharachdam, Yoré Dé’a, Chapitre 192) [Il est évident que les personnes qui suivent le ‘Hazon Ish ne tombent pas sous le coup de ce décret, puisqu’ils suivent l’un des plus grands décisionnaires de notre génération, mais il aurait cependant été malvenu d’inciter des gens à suivre cette opinion à des gens qui ignorent quel usage adopter)
Après en avoir débattu, nous avons donc décidé de ne pas mentionner cette opinion, qui aurait pu embrouiller les internautes, là où nous voulions au contraire simplifier.
Une autre vidéo sera bientôt diffusée pour expliquer la manière de se conduire avec les fruits qui ont une Kédoucha, et donc si vous suivez l’usage du ‘Hazon Ich, vous pourrez vous appuyer sur cette prochaine vidéo pour savoir comment vous conduire.
Cependant, comme les fruits Kadoch sont interdits au commerce, certains ont l’habitude, pour acheter ces fruits de remplir dans le magasin un Ktav Chli’hout, un document qui fait du magasin un intermédiaire entre le producteur et le consommateur. Ainsi, l’acheteur achète directement au producteur par l’intermédiaire du magasin.

Lea B.

23/10/2021 - 22h08

Au top!!! tres bien concis!!! ca fait du bien des explications clairs :) merci