Série de cours sur la préface du livre "Chemirat haLachone" écrit par le 'Hafets 'Haïm (rabbi Rabbi Israël Meïr Kagan).
Cours offert par Jérémie B. à la mémoire de Messaouda Bat Zaiza et Rivka bat Koka.
Même lorsqu’on a raison, il faut s’efforcer de ne pas attiser la discorde. En effet, celui qui entretien la ma’hloket transgresse -en outre- la avéra de « lo yihyé kéKora’h vékhaadato ». Il s’agit d’une faute pouvant être commise dans de nombreux cas : lorsqu’on dit du lachone hara ou de la rékhilout ; que ce soit en présence ou en l’absence de la personne concernée par ces propos négatifs ; que ces paroles soient vraies ou pas ; et peut-être même lorsqu’on ne fait que les écouter sans ne faire aucun commentaire. Cependant, les termes « lo yihyé kéKora’h » représentent-ils forcément une obligation ? Que dit Rachi à leur sujet ?
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