[Le Kohen]qui avait obtenu[le droit de brûler]l’encens prenait le petit récipient[contenant l’encens]de la cuillère et le donnait à[un Kohen qui était]son ami ou son parent,[qu’il avait désigné pour l’aider, et il entrait avec lui dans le sanctuaire. Si l’encens]était répandu du[petit récipient]dans[la cuillère, le Kohen qui l’accompagnait le donnait]au Kohen[qui brûlait l’encens]par poignées. Et[les Kohanim expérimentés]enseignaient[au Kohen qui brûlait l’encens :] « Sois prudent,[car si tu ne fais pas attention), tu pourrais commencer[à disperser l’encens sur le côté de l’autel qui est]devant toi ;[commence plutôt à disperser sur le côté éloigné de l’autel], pour ne pas te brûler[avec l’encens brûlant lorsque tu le disperseras. » Le Kohen]commençait à l’aplatir,[en répartissant l’encens uniformément sur les charbons de l’autel], et[lorsque le sanctuaire était rempli de la fumée de l’encens], il sortait[du sanctuaire. Le Kohen]qui brûlait[l’encens ne le]faisait pas[avant que]le[Kohen désigné ne]lui dise : « Brûle[l’encens]. » Et si c’était le KohenGadol[qui brûlait l’encens], le[Kohen désigné]lui disait[avec déférence :] « Mon seigneur, le KohenGadol, brûle[l’encens]. » [Cela vient du verset : « Et il n’y aura personne dans la tente d’assignation quand il entrera pour faire l’expiation dans le sanctuaire, jusqu’à ce qu’il en sorte » (Vayikra 16,17), que personne ne peut se tenir entre la salle d’entrée et l’autel extérieur quand le Kohen brûle l’encens. C’est pourquoi]le peuple,(c’est-à-dire les Kohanim), quittèrent[cet endroit]. Et[le Kohen]brûla[l’encens sur l’autel intérieur, se prosterna]et sortit[du sanctuaire].