Si quelqu’un dit à son prochain : voici un issar pour dix figues que je vais choisir ; il peut choisir et les manger une à une ; pour une grappe de raisin au « choix », il peut la manger grain par grain ; pour une grenade « au choix », il peut l’égrener ; pour un melon « au choix », il peut le manger par petits morceaux. Mais s’il lui a dit : « Un issar pour ces vingt figues », « pour ces deux grappes », « pour ces deux melons », il en mange comme d’habitude et il est quitte, car il les a acquis quand ils étaient encore en terre.