Celui qui dit à son prochain : voici un issar pour lequel tu me donneras cinq figues ; il n’a pas le droit d’en manger avant d’avoir prélever les dîmes, d’après Rabbi Méïr. Rabbi Yehouda dit : s’il les mange une à une, il est quitte, s’il en réunit deux, il est soumis aux dîmes. Rabbi Yehouda raconte que dans un jardin de roses, à Jérusalem, on vendait trois ou quatre figues pour un issar et n’a jamais prélevé ni térouma ni dîme.