De là on déduit que des israélites et des mamzerim prononcent le Vidouy, mais les convertis ni les esclaves affranchis, du fait qu’ils n’ont pas part à la terre. Rabbi Méïr dit : les Cohanim et les Levi-im non plus, car ils n’ont pas reçu de part à la terre. Rabbi Yossé dit : ils ont des villes et leurs terrains.