L’après-midi du dernier jour de la fête (de Pessa’h), on procédait au Vidouy. Comment le Vidouy était-il formulé ? ‘J’ai fait disparaître les choses saintes de la maison’, c’est la seconde dîme et le plant de la quatrième année. ‘Je les ai aussi attribuées, c’est la térouma et la téroumat ma’asser. ‘A l’étranger, à l’orphelin et à la veuve’, c’est la dîme des pauvres (ma’asser ‘ani), la glanure (leket), la gerbe oubliée (chikh’ha) et le coin du champ (péa), bien que leur non-accomplissement n’empêche pas [la récitation du] Vidouy ; ‘hors de la maison’ se rapporte à la ‘halla.