On peut racheter [les fruits de] la seconde dîme à la valeur du cours bon marché : [au prix où] le détaillant les achète, non pas [à celui] où il les vend ; et [la petite monnaie] au prix auquel le changeur l’accepte, non pas à celui auquel il la délivre. On ne doit pas racheter la seconde dîme en procédant pas estimation. Ce dont la valeur est reconnaissable peut être racheté au dire d’un seul [témoin], et ce dont la valeur n’est pas reconnaissable, au dire de trois, comme, par exemple, le vin devenu aigre, les fruits pourris et la monnaie rouillée.