Celui qui convertit en séla’ la monnaie de la seconde dîme peut, selon Beth Chamaï, échanger toute la monnaie pour un séla’. Beth Hillel dit : [il peut échanger la valeur d’]un chékel d’argent mais [doit garder la valeur d’]un chekel de monnaie [de cuivre]. Rabbi Méïr dit : on ne doit pas rendre profanes de l’argent et des fruits [réunis] contre d’autre argent, mais les Sages l’autorisent.