[Concernant] un non-juif, Rabbi Meïr dit : [On] estime sa valeur [dans le cas où un Juif dit : Il m'incombe de donner la valeur fixe de ce non-juif]. Mais [un non-juif] ne fait pas [vœu de] valorisation [pour faire don de sa valeur fixe ou de la valeur d'autrui]. Rabbi Yehouda dit : Il fait [vœu de] valorisation, mais il n'est pas évalué. Et [tant] ce [tana, Rabbi Meïr], que ce [tana, Rabbi Yehouda], conviennent que [les non-juifs] font vœu [de donner l'évaluation d'autrui] et sont [l'objet de] vœux, [par lesquels on donne l'évaluation d'un non-juif].