Si un Israélite a reçu d’un Cohen ou d’un Lévite, les dîmes appartiennent aux propriétaires. Rabbi Yichma’el dit : le villageois qui accepte un champ d’un Hiérosolymitain, la seconde dîme revient au Hiérosolymitain. Mais les Sages disent : le villageois peut monter à Jérusalem et l’y consommer.