Celui qui donne à sa belle-mère doit prélever la dîme sur ce qu’il lui donne et sur ce qu’il reçoit d’elle car elle est soupçonnée d’échanger ce qui s’abîme. Rabbi Yehouda dit : elle cherche l’avantage de sa fille et elle a honte de son gendre. Rabbi Yehouda reconnaît que, lorsqu’il s’agit de produits de la Chemita, la belle-mère n’est pas soupçonnée d’échanger ni de donner à manger à sa fille de tels produits.