Si l’homme impur n’a pas eu connaissance de son état avant son acte, mais après, le délit sera expié par le bouc dont le sang est aspergé en dehors du Sanctuaire, au jour de Kippour et en ce jour même, comme il est dit (Bamidbar 29, 11) : « En dehors du sacrifice expiatoire du pardon ». Or l’effet du pardon obtenu par un bouc est aussi obtenu par l’autre ; comme le bouc au sang aspergé à l’intérieur
effectue seulement le pardon à l’égard d’un délit connu, de même le bouc aspergé au dehors effectue seulement le pardon dans les mêmes conditions.