Celui qui arrache les mauvaises herbes d’un plant d’oignons (‘Hassiot), avec un non-juif, bien que les fruits soient tévèl, peut en manger de façon occasionnelle. Les jeunes plants de térouma qui sont devenus impurs : s’il les replante, ils ne rendent plus impurs. Par contre, ils restent interdits à la consommation jusqu’à ce que l’on en ait coupé la partie comestible. Rabbi Yehouda dit : il faut couper une deuxième fois ce qui a repoussé.