Dans la Paracha de Béchala'h, nous voyons que lorsque les Bné Israël étaient devant la mer, que les Égyptiens les poursuivaient et que des bêtes sauvages se trouvaient sur les côtés, Moché Rabbénou s'est mis à prier. Mais Hachem lui a répondu: "Ce n'est pas le moment de prier, parle aux Bné Israël et qu'ils avancent !" Pourtant, la Guémara Sota rapporte une discussion entre Rabbi Méïr et Rabbi Yéhouda, qui montre notamment que c'est justement suite à une Téfila (celle de Na'hchon ben Aminadav) que la Mer s'est ouverte. Était-il donc important ou pas de prier Hachem en ce moment d'épreuve ? Et quels enseignements pouvons-nous en tirer pour notre vie quotidienne ? Réponse à ces questions à travers un commentaire de Rav Chimchon David Pinkous, et l'explication d'un Midrach qui dit qu'au moment de l'ouverture de la Mer, une simple servante a accédé à un niveau de prophétie supérieur à celui de Yé'hezkel ben Bouzi (l'un des plus grands prophètes), et qui montre en quoi les situations de détresse permettent d'atteindre un très haut niveau.
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