On en a si peu parlé. Au-delà de toutes considérations médicales (reviendra-t-il ? quand ? faut-il le rééduquer ?), le Goût nous en a fait voir de toutes les saveurs. Tantôt perdu, tantôt modifié/inversé/retrouvé, il est devenu une préoccupation quasi-centrale pour tous. Et pour cause…

Envie de la vie ?

Il est absolument impossible de comprendre le fonctionnement du farfelu logiciel qui a été placé au cœur du Covid, autrement dit, nul n’est à même de discerner pourquoi le virus a touché tel ou telle autre personne.

C’est certain, la remise en question est générale, contaminés ou non, et carrément planétaire pour le coup.

Nous devons tous nous poser l’une des questions essentielles que pose le Covid : quel goût ressentions-nous dans notre vie, avant ?

Si c’est l’un des 5 moteurs qui nous permet d’expérimenter toutes les palettes qu’Hachem a mises sur notre chemin, c’est bien qu’il cache en lui-même un potentiel de vie inestimable, et surtout, depuis mars, sous-estimé !

Qu’est-ce qui nous fait réellement vibrer, quels sont les moteurs de notre vie ?

Et surtout : faisons-nous tout ce qui est en notre pouvoir pour les activer beaucoup plus que d’habitude ?

Eh oui, on a tous et toutes bien besoin de fuel, disons-le clairement.

Des ressources énergétiques pour nos générations

Voici un petit ‘Hidouch (nouvel enseignement) qui donne la pêche (merci au Rav Yonathan Benchetrit ;-) ;

Hachem, devant qui toute l’histoire est posée, savait bien que le cher Klal Israël (peuple d’Israël) aurait besoin de grands miracles, dans le désert, après la sortie d’Egypte. Besoin d’eau en quantité, de nourriture, besoin de confiance en D.ieu, etc. Mais Il ne souhaite pas nous faire profiter de miracles, sans nous offrir l’occasion éternelle de pouvoir les mériter (c’est la notion du « Le’hem 'Oni », le pain de la honte). Pour cela, Il doit donc trouver un moyen de générer ces mérites, qui profiteront aux générations suivantes.

C’est pour cette raison, qu’avant la sortie d’Egypte, Il éprouva notre père Avraham, qui souffrait tant au 3ème jour de la Brit-Mila (circoncision), et qui malgré tout, généra une force surhumaine pour accomplir malgré tout la Mitsva d’offrir à boire et à manger à ses trois invités. C’est par cette force, qu’Hachem déclencha le cadeau du puits de Myriam, qui fournit de l’eau en masse aux enfant d’Israël dans le désert des années plus tard. Ainsi que le cadeau de la manne, qui les nourrit sans faille. Entre autres nombreux cadeaux, transmis, d’une génération à l’autre !

C’est ainsi que nous pourrions nous donner de la force, ensemble, pour continuer à prier, à être empli de confiance et d’Emouna (foi) en notre Boss préféré, au cours de cette épopée du Covid : quelle qu’en soit l’issue, nos enfants et nos générations ultérieures en récolteront grandement les fruits, et seront magiquement approvisionnés en ce dont ils auront eux-mêmes le plus besoin, dans leurs générations.

Hachem reproduit à l’instant T, un mini scénario de celui qui doit se dérouler à l’instant T+1, pour faire advenir/émerger, en T, les outils dont nous aurons immanquablement besoin en T+1.

Il est donc à croire, entre autres, que les générations qui nous succèderont, auront un besoin inéluctable de ce que nous sommes en train de vivre, pour grandir. La vie est un grand puzzle, dans lequel il n’y a jamais, jamais, aucune erreur ! Ne regardons pas ce que l’on vit telle une succession banale d’évènements, mais cherchons à quoi cette succession vient répondre : un besoin/manque inconscient collectif, et individuel, dont seul Hachem peut connaître l’existence.

Vu sous cette perspective, le Covid ne peut plus être vu comme un problème, mais, plus justement, comme une réponse, à une question inconsciente.

#CovidGénérateurDeForcesPourNosEnfants#

À très bientôt !