La fourrure du lièvre arctique est blanche en hiver ; sa couleur se confond donc avec la neige. En été, sa fourrure est de couleur brune et l'animal devient ainsi invisible sur fond de végétation. La fourrure de ce rongeur est donc changeante selon les périodes. Sa couleur est même ajustée avec précision à la saison. Seule une personne refusant délibérément d'ouvrir les yeux peut ignorer les intentions évidentes que ce phénomène révèle.
On observe que les violettes pollinisées par le vent sont de couleurs très sombres, parce que le vent ne distingue pas les couleurs, et n'en a pas besoin dans sa fonction de pollinisateur. En revanche, les fleurs des violettes pollinisées par les insectes ont des couleurs éclatantes, dont le but est d'attirer les insectes. Là encore, le but d'une telle différence est manifeste !
Le croquet stridule en frottant la pointe de l'une de ses ailes sur une sorte de râpe de plus de 200 strates se trouvant sur une autre aile. A la base des ailes, se trouve un petit amplificateur en chitine, plus solide que l'acier (la chitine est la substance constitutive du squelette des insectes). Cet amplificateur permet que la stridulation soit entendue jusqu'à un kilomètre et demi. Le laboratoire de la marine américaine à New London dans l'Etat du Connecticut a utilisé les principes tirés de cet amplificateur naturel pour développer des systèmes de signaux surpuissants.
Le grillon est lui équipé d'outils des plus étonnants pour produire des sons. Il a deux membranes, une de chaque côté de son estomac. Elles sont contrôlées par des élytres qui agissent comme des voûtes permettant d'amplifier ou de baisser le volume. Chaque membrane a une tête de tambour, un amplificateur, une « table de mixage », et un petit canal fournissant l'air nécessaire à la transmission du son. Ce montage permet la production d'un son très commun dans toute la faune. Chaque cas est une merveille programmée et d'une complexité précise.
Un volatile utilise un incroyable thermomètre ; il s'agit de la « poule australienne ». Cette poule, dont l'aspect est semblable à celui d'une dinde, dispose d'un thermomètre naturel dans son bec. Les volatiles de cette espèce couvent leurs œufs au milieu d'un tas de plantes en décomposition. Toutes les quelques minutes, le mâle plante son bec dans le tas de compost et en vérifie la température. Quand la température monte au-dessus de 33 degrés, le volatile creuse un trou dans le tas de compost afin d'aérer les œufs. C'est ainsi que les œufs sont conservés à une température optimale jusqu'à ce qu'ils soient éclos.
Comment les partisans de la théorie évolutionniste expliquent-ils ces phénomènes ? Selon leur théorie classique des mutations aléatoires, ils doivent justifier ce phénomène par d'heureuses coïncidences. Sauf que la probabilité d'une telle coïncidence est d'une sur des milliards de milliards ! Et même si nous supposions qu'un animal particulier ait « développé » de tels dispositifs sonores, comment se pourrait-il qu'un tel hasard, aussi aléatoire, se soit répété chez tellement d'animaux, d'autant plus que la plupart font partie d'espèces « proches » sur tous les autres plans !
Ces explications évolutionnistes vont à l'encontre de toute logique, et ne peuvent satisfaire l'esprit d'aucune personne sensée...