Imaginez l’époque de la Grèce antique, ou encore celle du Moyen Âge du temps des rois de France : ni les satellites en orbite, ni les télescopes ultra sophistiqués de notre ère à la pointe de la technologie n’existaient. Bon nombre de « savants » prétendaient alors que la terre était plate, c’est dire l’état de l’avancée scientifique de l’époque…
Et pourtant, à chacune de ces époques reculées, les voix des étudiants en Torah chantonnaient les versets de la Bible et ses commentaires avec ferveur. Ils disaient, comme nous le faisons encore aujourd’hui : « Et D.ieu fit le firmament. Et Il sépara les eaux du dessous le firmament des eaux du dessus le firmament. Et il en fut ainsi » (Genèse 1,7)
Puis, pour couronner le tout et dissiper tout doute, ils poursuivaient la lecture : « Les eaux d’en haut sont plus abondantes que celles d’en bas » (Midrach Rabba – Béréchit. Section. 4).
On n’a pas de mal à imaginer le regard railleur et cynique des gens de l’époque. De l’eau dans l’espace, c’est impossible ! Votre Torah vous raconte des histoires à dormir debout !
Quand les moqueurs ne se moquent plus…
En 2011, les astronautes de l’Institut de technologie de Californie ont découvert un gigantesque nuage dans l’espace. Ce dernier renferme 140 trillions de fois le volume d’eau contenu dans les océans de la mer sur Terre ! Ce nuage géant flotte aux abords d’un trou noir - dans un quasar - à près de dix milliards d’années-lumière de notre Terre. Il est à ce jour la plus grande quantité d’eau condensée découverte. (Le Parisien, 24 juillet 2011).
En 2015, les résultats des observations effectuées par le satellite Hubble montraient que sous la croûte glacée du plus gros satellite de Jupiter, Ganymède, était niché un volume d’eau plus grand que tous les océans de la Terre réunis… (Le Parisien 16/04/2015).
Il en va de même pour Mercure. La sonde Messenger, en orbite depuis 2011, confirmait elle aussi la présence d’immenses étendues d’eau sur Mercure (NASA/Johns Hopkins University Applied Physics Laboratory/Carnegie Institution of Washington).
Déjà en 1997, le satellite européen infrarouge ISO (Infrared Space Obervatory) découvrait d’importants nuages à vapeur d’eau au centre de la Voie Lactée, annonçait l’Agence Spatiale Européenne (ESA).
« Pour la première fois, nous avons une vue claire de l’abondance de l’eau dans la galaxie », conclut l’un des chercheurs du programme ISO, l’astronome José Cernicharo, de l’Institut de la structure de la matière (Instituto de Estructura de la Materia), à Madrid. « Nous avons une vue claire de l’abondance de l’eau dans la galaxie. »
Le Professeur Fred Whipple de l’Université de Harvard, ancien directeur de l’observatoire des étoiles du centre Smithonian, a démontré que les comètes se composent de glace, mélangée à des particules de poussières intergalactiques et autres débris cosmiques. Il statue qu’une petite comète contient environ un milliard de tonnes de glace, alors qu’une grande comète peut contenir jusqu’à mille fois cette quantité-là ! (Atlas de Cambridge, pages 156 à 219).
Cette Torah, qui nous vient directement… des Cieux !
Des études comme celles-ci de nos jours, il y en a par centaines, mais à l’époque de l’Antiquité, qui le savait ? Qui pouvait savoir ou prédire qu’il existerait de l’eau dans l’espace, et qui plus est, en plus grande quantité que celle présente sur Terre ? Quelqu’un d’autre que le Créateur du monde, Béni soit-Il, serait à même de posséder ces informations contemporaines ? N’est-ce pas à nouveau la preuve que la Torah que nous possédons est d’origine divine ? Honnêteté intellectuelle oblige !
Pensez aussi un instant à ce jeune étudiant en Torah, qui a sûrement dû se faire railler une fois dans sa vie, sur ses « croyances » farfelues au nom du rationalisme ; à quelle (é)preuve de foi a-t-il eu à faire face dans ces moments-là ! Pourtant, aujourd’hui, ces informations dispensées par la Torah ne sont plus de l’ordre de la croyance, mais bien de la connaissance. Soyons à même d’en retirer les bonnes leçons : si aujourd’hui, nous ne comprenons pas tout, arrivera un jour où tout sera clair.