Le soir du Séder, nous avons une mitsva de nous accouder, en signe de liberté. Celle-ci concerne-t-elle aussi les prisonnier ? Que faire pour la réaliser ? N'est-ce pas plutôt contraignant ? Comment donc y voir un signe de liberté ? Réponse à travers une phrase énoncée dans Pirké Avot : "Le seul homme libre est celui qui s'occupe de Torah".
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