Lorsqu’on a pris la ‘Halla séparément sur deux pâtes chacune d’un kav et qu’ensuite on les réunit en une seule pâte, on est dispensé, selon Rabbi ‘Akiva, d’un nouveau prélèvement (la première étant valable) ; les autres Sages l’y astreignent. Il se trouve donc que le côté rigoureux de Rabbi ‘Akiva (qui admet la valeur de la ‘Halla pour chaque kav) devient transigeant en ce dernier cas (et il dispense d’un nouveau droit).