Rabbi Yehouda dit : Ben Boukhri a affirmé à Yavné : « ce n’est pas pécher, pour un Cohen, qu’offrir le [demi] sicle ». Rabban Yohanan ben Zaccaï lui répond : « Non seulement cela, mais c’est en n’offrant pas le [demi] sicle qu’un Cohen pécherait ». Mais les Cohanim interprètent à leur avantage le verset :
« Toute offrande d’un Cohen doit être détruite ; elle ne sera pas mangée » (Vayikra 6,16). Etant donné que l’Omer, les deux pains et le pain de proposition nous reviennent, comment seraient-ils mangés [si nous y participions].