Pendant que l’on avait encore le panier sur les épaules, on récitait le texte biblique prescrit (Dévarim 26,3-10), depuis les mots « Je dis aujourd’hui à l’Éternel ton D.ieu etc. » jusqu’à la fin du chapitre. Selon Rabbi Yehouda, on lit jusqu’aux mots : « Mon père était un araméen nomade ». Après ces mots, on descend le panier de l’épaule, on le retient par les lèvres (par son anse), le Cohen le soutient de la main, le soulève (pour l’acquérir) ; puis, on lit les derniers versets du passage : « Mon père était un araméen nomade » ; on déposait l’offrande à côté de l’autel, on se prosternait et on sortait.