Voici en quoi il ressemble à la bête sauvage (‘haya) : il faut en couvrir le sang après l’avoir égorgée comme celle-ci, on ne peut pas la tuer un jour de fête, et si c’est fait on n’en couvrira pas le sang (acte interdit en ce jour) ; la graisse de son cadavre rend impur comme celle d’une bête sauvage ; cette impureté est celle du doute, et l’on ne peut pas s’en servir pour racheter le rejeton de l’âne (Chémot 34,20).