Il y a certaines règles communes au Ma’asser Chéni et aux prémices, et non à la Térouma. Ainsi, pour les premières, il faut les apporter à Jérusalem, réciter la confession (vidouy), et elles sont interdites aux personnes en deuil (onen), mais Rabbi Chimon en permet l’usage à ces derniers. Elles sont soumises toutes deux à l’obligation du débarras (bi’our) ; Rabbi Chimon les en dispense. Quelque petite que soit la quantité (mêlée à d’autres), il est interdit dans Jérusalem d’en manger (à tout autre qu’au Cohen), et même leurs produits ne peuvent être mangés à Jérusalem, ni par les non-Cohanim, ni même par les bestiaux. Rabbi Chimon le permet. Tout ceci est applicable au Ma’asser Chéni et aux prémices, non à la Térouma.