Voici enfin en quoi elle ne ressemble ni à un animal sauvage (‘haya) ni à un animal domestique (behema), au titre de mélange hétérogène (kilayim), de l’accoupler avec un animal sauvage (‘haya) ou domestique (behema). Si on lègue à son fils ses animaux sauvages ou ses domestique, on ne lui à pas pour autant léguer l’animal douteux. Lorsque quelqu’un s’engage (devant cet animal douteux) « je suis Nazir si c’est un animal sauvage, ou si c’est une bête domestique, le vœu est valable (il sera Nazir). Pour tout le reste, on le traite à l'égal de la bête sauvage ou domestique, à savoir qu’il faut l’égorger (che’hita), que son cadavre rend impur (toumat névéla), il est interdit d’en manger un fragment avant l’égorgement (éver min ha’haï).