Si quelqu’un achète trois arbres dans la propriété d’autrui, il lui offrira les prémices et fera la lecture officielle ; selon Rabbi Méïr, il lira également en n’achetant que deux arbres. Si l’on a acquis un arbre avec le sol qui le nourrit, on en apporte les prémices et l’on fait la lecture. Selon Rabbi Yehouda, même les fermiers à gage fixe, ou à gage proportionnel du revenu, font la lecture en offrant les prémices.