A propos de celle-ci et celle-là, Rabbi Yehochoua dit : une telle térouma, il ne m’est pas interdit de la rendre impure mais seulement de la consommer. Dans quel cas m’est-il interdit de la rendre impure ? [Par exemple] il passait d’un endroit à un autre et avait des miches de pain de térouma en main ; un non-juif lui dit : « Donne-moi l’une d’elles pour que je la rende impure ou sinon, je les rends toutes impures ». Rabbi Eli’ézer dit qu’il le laisse les rendre toutes impures plutôt que de lui en donner une à rendre impure. Rabbi Yehochoua dit : qu’il en laisse une [abandonnée] devant lui sur un rocher.