Traité Moèd Katan

On n’écrira pas, pendant ‘Hol HaMo’ed, des contrats de dettes, mais si [le prêteur] n’a pas confiance [sans cela, en l’emprunteur] ou si [le scribe] n’a pas de quoi manger [sans le salaire de ce travail] il lui est permis de l’écrire. On n’écrira pas, pendant ‘Hol HaMo’ed, des Sefer Torah, ni des Tefiline, ni des Mézouzot ; on ne corrigera pas même une lettre, fut-ce dans le Sefer Torah qui se trouvait dans l’enceinte du Beth HaMiqdach. Rabbi Yehouda dit : il est permis d’écrire des Téfiline ou des Mézouzot pour son usage personnel et de tisser sur ses genoux le fil Tekhélèt pour les Tsitsit.