La seconde dîme : on ne doit ni la vendre, ni la prendre en tant que gage, on ne peut pas l’échanger et ne peut pas s’en servir pour peser. Un homme ne pourra pas dire à son ami à Jérusalem : « Voici du vin (de seconde dîme) pour toi et donne-moi de l’huile (profane) en échange ». De même pour tout autre fruit. Mais on peut s’en faire l’un à l’autre des cadeaux.