Rabbi ‘Akiva dit : La déclaration de [Rabbi Tarfon] paraît [correcte] dans [le cas d’]un abus
minime, [mais dans le cas] où il se trouve confronté à [un cas d’]incertitude [concernant] un
abus d’[une valeur de] dix mille dinars, ne serait-il pas préférable pour lui d’apporter
[maintenant] un sacrifice de culpabilité [provisoire d’une valeur] de deux séla et de ne pas
apporter [maintenant le paiement pour] un abus incertain [d’une valeur] de dix mille dinars
? [La Michna conclut : Apparemment], Rabbi ‘Akiva concède à Rabbi Tarfon dans [le cas d’]un
abus minime. [Il est d’accord pour qu’au début on apporte le paiement pour abus et son
paiement supplémentaire d’un cinquième, et apporte conditionnellement un sacrifice de
culpabilité. A propos du cas précédent dans lequel on apporte le même type d'animal alors
que la responsabilité est certaine et incertaine, cette Michna enseigne : En ce qui concerne]
une femme qui apporte un sacrifice d'expiation d'oiseau [dans un cas de doute quant à savoir
si elle a avorté un fœtus qui l'aurait rendue passible d'un sacrifice d'expiation ou si ce qu'elle
a expulsé ne l'aurait pas rendue pas passible d'un sacrifice, auquel cas ce sacrifice d'expiation
ne peut pas être mangé par les Kohanim, la halakha est la suivante :] Si avant que [la nuque
de l'oiseau] ne soit pincée, il lui est apparu qu'elle a certainement accouché, [c'est-à-dire
qu'elle a avorté, d'une manière qui l'oblige à apporter un sacrifice d'expiation], elle doit
rendre [l'offrande] un sacrifice d'expiation déterminé, car du [même] type [d'animal] pour
lequel elle apporte [un sacrifice d'expiation] dans [le cas où] elle sait [qu'elle a avorté], elle
apporte [un sacrifice d'expiation] dans [le cas où elle] ne le sait pas.