La destruction du Beth Hamikdach, ou même les souffrances actuelles, doivent-elles nous empêcher de vivre ? Pouvons-nous, cependant, y être totalement indifférents ? Pourquoi ? En quoi est-il néanmoins très important de préserver notre joie ? Réponse à travers un passage de Guémara, des propos de Rabbi Ya'acov Kaminetski et plusieurs exemples.

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