Rien n'est jamais désespéré. Même une faute peut donner naissance à quelque chose de positif. Au début de ce cours, Rav Sitruk annonce qu'il parlera, dans une première partie, du sens de la fête de Pessa'h ; et dans une seconde partie de la pratique de cette fête. Il propose d'essayer de comprendre l'exil égyptien, à partir d'un commentaire du Zohar. Il montre la gravité de la faute de Zéra Lévatala [en précisant néanmoins que rien n'est jamais désespéré, et que même une Avéra (faute) peut-être optimisée, donner naissance à quelque chose de positif, il et explique comment l'exil d'Égypte va contribuer à réparer celle-ci. Il évoque notamment la grandeur de Yossef Hatsadik qui s'est retenu de fauter avec la femme de Potifar, et par le mérite duquel le Yam Souf s'est ouvert en faveur des Bné Israël.
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