Bien que notre jugement de Roch Hachana soit tamponné à Kippour, nous avons encore la possibilité de l'améliorer jusqu'à Hocha'ana Rabba. Que se passe-t-il cette nuit-là ? Que dit le Arizal à ce sujet ? A travers quelle histoire surprenante montre-t-il qu'à Hocha'ana Rabba même un décrêt de mort peut être annulé ? A quel moment le yétser hara' entre-t-il en l'homme ? Que dit la Guémara à ce propos ? En quoi ce qui se passait dans le ventre de Rivka Iménou (lorsqu'elle était enceinte de Ya'acov et de 'Essav) ainsi que deux histoires rapportées dans la Guémara Yoma, semblent-elle contredire cette affirmation ? L'existence de tendances au mal en nous entrave-t-il notre libre-arbitre ? En quoi la réponse à cette dernière question est-elle liée à l'explication du Arizal rapportée précédemment ?
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