Cantique des degrés. Vers toi j’élève mes regards, ô toi qui résides dans les cieux!
123,2
Vois, de même que les yeux des esclaves sont tournés vers la main de leur maître, de même que les yeux de la servante se dirigent vers la main de sa maîtresse, ainsi mes yeux sont tournés vers l’Eternel, notre Dieu, jusqu’à ce qu’il nous ait pris en pitié.
123,3
Sois-nous propice, Seigneur, sois-nous propice, car trop longtemps nous avons été rassasiés de mépris.
123,4
Trop longtemps notre âme a été rassasiée des moqueries de gens confiants dans leur prospérité, des dédains d’arrogants oppresseurs.