Bonjour,
Comment minimiser les risques en s'impliquant dans le domaine de rapprocher des juifs éloignés du judaïsme ?
Merci par avance de votre réponse.
Bonjour,
1. Rabbi Akiva, Rabbi Yo’hanan ben Zakaï et Hillel Hazakèn, trois de nos plus grands maîtres, ont étudié durant 40 années avant de se consacrer à la diffusion de la Torah.
Voir Talmud Roch Hachana 31b, Talmud Sanhédrin 41a, Rabbénou Bé’hayé sur Chémot, chapitre 3, verset 1 au nom de nos Sages dans le Sifri, Dévarim, paragraphe 357, passage 7.
Nous voyons, donc, que pour parfumer son entourage, il faut, tout d’abord, être soi-même suffisamment parfumé.
De nos jours, les exigences ne sont plus autant élevées [Oupiryo Matok, Vayikra, pages 329-330 au nom de Rav Elyashiv], mais il faut un certain minimum, sans quoi, on s’expose à certains risques.
Voir feuillet hebdomadaire édité par les élèves de Rabbi Moché Sternboukh, Parachat Lekh Lékha, année 5778.
2. Certains de nos maîtres disent que lorsque l’on est occupé à extraire de notre cœur des paroles de Torah, il n’est plus en mesure d’absorber le mal se trouvant face à lui.
Cependant, la réalité prouve assez souvent qu’il est indispensable de prier d’une manière incessante et de prendre en considération ce qui est mentionné dans le paragraphe précédent.
Voir Oupiryo Matok, Vayikra, pages 329-330.
Je suis à votre disposition, Bé’ézrat Hachem, pour toute question supplémentaire.
Qu’Hachem vous protège et vous bénisse.