Chalom Rav,
Est-il vrai qu'il est interdit de prier ou d'étudier la Torah lorsque l'on sent l'odeur d'un parfum d'une femme ?
Si oui, que faire si l'on se trouve en chemin (métro, bus, etc.) et que l'on rencontre ce genre de problème ?
Merci d'avance.
Bonjour,
1. Il n'est pas interdit de prier ou de réciter une Brakha si l'on sent l'odeur d'un parfum de femme. Il suffit d'essayer de ne pas se concentrer sur l'odeur et il n'y a plus rien à craindre. Gan Naoul, chapitre 5, Halakha 12-13, Levoucha Chel Torah [Rav Pessah Elyahou Falk], chapitre 64, passage 9.
2. Il en est de même pour les synagogues où la partie réservée aux femmes n'est pas éloignée de celle qui est réservée aux hommes. Parfois, c'est une importante vague de parfum qui pénètre chez les hommes; ce n’est pas un problème.
Nous sommes à votre disposition, Bé’ézrat Hachem, pour toute question supplémentaire.
Qu’Hachem vous protège et vous bénisse.
2 commentaires
1. L'odeur de parfum d'une femme n'a pas le statut de 'Erva.
2. S'il est interdit de sentir le parfum d'une femme, c'est du fait que cela peut mener vers la faute. Il y a de nombreux détails à ce sujet car l'interdiction touche [...] lire la suite du commentaire
Sur cela, j'ai appris qu'il y a un principe de « Réa'h Béicha 'Erva ».
Qu'en est-il ?
Merci d'avance.