Chalom Rav,
Il est écrit : « Un cœur brisé et attristé, D.ieu ne le dédaigne pas », mais ne doit-on pas prier avec joie ?
Toda.
Chalom,
Il y a une sensible différence entre un cœur brisé et de la tristesse.
Un signe permet de la repérer : si après avoir fini sa Téfila l’homme éprouve une grande joie, cela signifie qu’il l’avait débutée d’un cœur brisé.
Si la prière de l’homme était empreinte de tristesse et de déprime, il restera dans ce même état après sa Téfila (Chomer Émounim).
Kol Touv.