Bonjour,
J'ai lu qu'un homme pouvait allumer bougies de Chabbath si sa femme n’est pas là, célibataire, veuf, divorcé.
Si, par exemple, sa fille qui ne vit pas sous son toit est là, est-ce elle qui allume ou c’est à lui d’allumer ?
Merci de m'éclairer.
Bonjour,
Vous écrivez : "J'ai lu qu'un homme pouvait allumer bougies de Chabbath si sa femme n'est pas là, célibataire, veuf, divorcé."
Remarque : En effet, cela est exact. Halakha Broura, volume 15, pages 171 et 198.
Vous écrivez : "Si, par exemple, sa fille qui ne vit pas sous son toit est là, est-ce elle qui allume ou c’est à lui d’allumer ? Merci de l'éclairer. "
Réponse : Dans un tel cas, c'est au papa d'allumer les bougies et de réciter la Brakha, étant donné qu’il s’agit de sa Mitsva à LUI. Pourquoi la transmettrait-il à une autre personne ? Même s'il s'agit de sa fille. Une Mitsva, ça ne se donne pas. Une Mitsva doit s'arracher ; doucement, certes, mais sûrement. Béèr Moché, volume 8, réponse 67, Ben Ich 'Haï dans son ouvrage Mékabtsiel, année 2, Parachat Noah, Halakha 7, Halakha Broura, volume 15, pages 198-199, Chemirat Chabbath Kéhilkhata, volume 2, chapitre 43, note 46, Or'hot Rabbénou, volume 1, page 108.
Qu’Hachem vous protège et vous bénisse.