A-t-on le droit de parler après avoir récité la Birkat Hamapil ?
Il faut s’efforcer de ne pas parler entre cette bénédiction et le moment où l’on s’endort. Si toutefois, on en vient à parler, cette bénédiction n’aura pas le statut d’une bénédiction prononcée en vain et il ne faudra pas la répéter (Chout Yéhavé Daat tome IV, chap. 21).
L’auteur du Ben Ich ‘Haï (Parachat Pékoudé, chap. 12) préconise de ne pas mentionner le nom divin de peur d’en venir à parler. Mais le Rav Ovadia Yossef chlita considère qu’il ne faut renoncer à une bénédiction instituée par nos sages à cause du risque d’en venir à parler.