Chalom,
Faut-il une Haskama (approbation) sur un livre d'enfants ?
Bonjour,
De la même manière que les aliments consommés nécessitent la surveillance d’une autorité rabbinique, les contenus écrits que nous absorbons, nécessitent, également, une surveillance ; et surtout lorsqu’il s’agit de nos enfants, car leur cerveau est encore inexploré : toute [mauvaise] connaissance qui s’y installerait risquerait de ne plus jamais le quitter.
Voir Pirké Avot, chapitre 4, Michna 20.
« Beaucoup de livres traitent de psychologie et les opinions qui y sont rapportées sont souvent étrangères à nos convictions et à nos valeurs [il faut être suffisamment sensible pour s'en apercevoir]. Une fois qu’ils sont entrés dans ces livres, les lecteurs se forgent une idée entièrement différente de la famille, du mariage et de la vie en général. »
Les géants de la Torah ayant rédigé une approbation en introduction aux livres d'éducation ont béni les auteurs d'avoir mis à la disposition du public des ouvrages qui empêcheront nos frères "d'aller paître dans des champs étrangers".
Voir l’ouvrage "D’un cœur plein d’amour", page 238 et Le Midrash raconte, Vayikra, pages 297-299, préfacé par Rabbi Moché Feinstein.
Nos Sages, les ‘Hakhamim, disent :
"Im Ène Torah, Ène Dérekh Erets" - "Là où il n'y a pas de Torah, il n'y a pas de morale sociale". Pirké Avot, chapitre 3, Michna 17.
Vous êtes sensé[e], brillant[e] et intelligent[e]. Donc, il n’est pas nécessaire de commenter davantage.
Nous sommes à votre disposition, Bé’ézrat Hachem, pour toute question supplémentaire.
Qu’Hachem vous protège et vous bénisse.